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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 16:10
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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 15:49
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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 15:42
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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 14:59

laplume

Des mots qui vont bien ensemble?

Commençons par la "discrimination positive".

Discrimination (source le bon vieux dico ou Wikipédia au choix): action de distinguer de façon injuste ou illégitime, comme le fait de séparer un groupe social des autres (en le traitant plus mal). Positive: synonyme de favorable, incontestable. Si on accole les 2, ça fait bizarre, contradictoire! On dit aussi antinomique.

En passant par "l'ordre juste": si c'est mis en ordre, ça ne peut être que juste, équitable... sinon c'est du désordre. Là, c'est juste un pléonasme!

Pour terminer par "la discipline positive". Si on installe une discipline (dans une classe, par exemple), ça ne peut être que positif, sinon, y a pas de discipline, non...?

Et tout le monde répète ces mots bizarres à l'infini. Y a pas que Françoise Dolto qui aimait inventer des mots.

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 10:47

cheval de garde

Paraîtrait que l'on a retrouvé:

* Du cheval dans des fièvres non identifiées.

* Du mouton chez des personnes vivant du côté de Panurge.

* De la vache "Marguerite" dans un film avec Fernandel.

* De l'âne dans la téléréalité.

* Du chinois dans les produits made in France.

* Du Russe chez un gaulois nommé Obélix.

* Et pour finir: du cochon dans DSK selon Marcella.

Je vous le demande: Où va-t-on...?

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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 12:14

Non à la violence!

Une Journée de la femme...?

Combien osent dire STOP, dès la première humiliation, dès la première gifle...?

Le cycle de la violence intrafamiliale (VIF) fonctionne en boucle.

1. D'abord les tensions, les conflits, la peur qui s'installe.

2. Puis, les agressions verbales ("T'es nulle..."), physiques, le viol sur fond de colère, de tristesse.

3. Ensuite le déni "C'est ta faute!" et la culpabilité.

4. Enfin, la rémission, la lune de miel, l'espoir d'un changement (resto, fleurs...)

Et hop ! Ça recommence !

À La Réunion, les choses commencent à bouger. Dépôt de plainte de la victime + constat médical = comparution immédiate du conjoint violent et éviction du domicile avec incarcération partielle (dodo à Domenjod).

Les assoc d'aide aux victimes oeuvrent dans l'ombre, parfois avec peu de moyens!

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2 mars 2013 6 02 /03 /mars /2013 08:12

SNCF

On pourrait l'écrire avec moins de fotes.

Le prochin trin ne markra pa la ré.

On se croirait dans un sketch de Laspalès et Chevalier. "Le train pour Pau."  Il s'arrête mais repart aussitôt. C'est vous qui voyez !

 

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2 mars 2013 6 02 /03 /mars /2013 06:28
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1 mars 2013 5 01 /03 /mars /2013 05:22
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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 13:18

images--1-.jpeg

« Bonjour Monsieur. J’ai trouvé un p'tit mot sur mon pare-brise m’indiquant de ne pas me garer devant le n°11… sa nous empêche de nous garer et rentrer les voitures ». Je m’excuse Monsieur, mais ce stationnement n’est que temporaire. Mon véhicule est en panne dans mon garage. J’habite en face et je ne suis pas devant votre barreau…

- Quoi, comment ? Allez vous garer dans le parking visiteurs!

- Mais Monsieur, je ne suis pas un visiteur. Les visiteurs sont chez vous, peut-être en Amérique. D’ailleurs, vous êtes-vous posé la question : à savoir le nombre de manœuvres que je dois faire quand une de vos voitures est garée en face?

- De toute façon, vous réussissez à entrer chez vous (d’une limpidité foudroyante)!

- Monsieur, je suis vraiment désolé… 

 - Si vous le prenez comme ça ? » 

Le bouquet, l’apothéose. Dialogue de sourd. Surdité méprisante. Doit-on vraiment être « désolé » face à tant d’aplomb?

Pour achever de « punir » l’intéressé, rien de tel que deux bonnes vieilles poubelles pour l’empêcher de récidiver? 

  La question qui est posée : sur une voie communale, qui peut s’octroyer le droit de dire "devant ma palissade, à côté de mon barreau, c’est chez moi ?"

Doit-on faire mentir la devise : « Je fais ce que je veux, où je veux ; les autres je m’en tape »?

Une anecdote croustillante pour un 2è opus « Conflits de voisinage. Une solution est-elle possible ? » Azalées Editions. En librairie. EEn vente

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